La fête du Printemps.

La fraîche rosée ce matin c’est posée.
Le jardinier d’une main invisible
A semé sur les roses des effluves parfumées.
Revoilà le printemps qui c’était éclipsé,
Il nous revient avec toute sa beauté, ses odeurs.
C’est le temps de l’amour, ami ouvre ton cœur.
La nature en ce monde
Redevient féconde.
L’oisillon sur la branche a quitté son nid
Le cri encore voilé par une longue nuit.
Il étire ses ailes, lisse ses plumes légères.
Il s’élancera dans un instant comme ses frères,
Sous le regard inquiet et fier de ses parents,
Pour participer à sa manière à la fête du printemps.




J.P.

1 commentaires:

Anonyme a dit…

Très beau texte! :-)